Communication de crise quick

n soit, l’autopsie n’a pas encore permis de déterminer si la mort de l’adolescent était due au menu de Quick.

Réactions de Quick :

La chaîne de fast-food a publié lundi 24 janvier un communiqué de presse, dans lequel elle se dit « affligée d’apprendre le décès d’un adolescent ». Le président de Quick, Jacques-Edouard Charret, a précisé lundi, lors d’une conférence téléphonique, que « de nombreux clients ont consommé le même jour les mêmes produits et qu’aucun ne s’est plaint ou ait rapporté avoir été souffrant ». Selon lui, « la direction de Quick fera face à ses responsabilités si les résultats de cette enquête devaient démontrer l’implication de l’entreprise».

Quick a alors mis à disposition du grand public un numéro vert d’information, le 0 800 004 084. Une conférence de presse s’est déroulée aujourd’hui, mardi 25 janvier à Paris. M. Charret s’est montré confiant dans le système de sécurité sanitaire mis en place par Quick puisque les premiers éléments de l’enquête n’ont permis ni de confirmer, ni d’exclure l’hypothèse d’une intoxication alimentaire. Les résultats des analyses, notamment toxicologiques, effectuées à l’intérieur du Quick, devraient être rendus publics en fin de semaine ce qui permettra d’en savoir plus.

Un bilan mitigé :

* Malgré un effort de la part de quick de vouloir informer ses clients de l’avancé de la procédure elle en oubli de les rassurés, elle est resté quasiment muette.

* Quick a réussi à emmètre une communication humaine et montre qu’elle prend ses responsabilité si la société est déclaré coupable.

Un bilan mitigé (bis) :

* Pour l’instant nous pouvons dire que Quick parvient à gérer la situation de crise mais il serait intéressant de voir la réaction de l’entreprise si sa responsabilité était mis en cause.

* Létaux se resserre autour de Quick avec un témoignage d’une deuxième victime pris de vomissement après un diner au restaurant.

Témoignage d’un client :

Présenter par BFM TV