Sociologie garçon et fille

La construction de soi se fait en partie par le sport. Les garçons prennent leur performance sportive très a cœur. Lors d’une défaite face à des filles, les garçons vont avoir des comportement violent à cause d’une certaine déception. Cette dernière vient du besoin d’être reconnu par leur camarade. L’avis des autres est donc important pour avoir cette image de « guerrier » dans le quartier, qui est à l’origine d’un bon savoir-faire dans le secteur sportif. L’action du sport, pour les garçon, est donc une question « d’honneur et de virilité ».

Plus l’on donne une bonne image de soi lors du sport, plus on va avoir tendance à se faire un réseau, d’ami, plus facilement. Mais ce n’est pas le seul critère. La réaction d’un individu à une action violente envers ce dernier par le force ou le savoir parler aide aussi. Une question, comme dit auparavant, « d’honneur ». Pour revenir à cette construction de soi, le sport à cette effet de donner le degré de  « féminité » ou de « masculinité », qui détermine nos actions et qui nous sommes.

Les comportement des individu dépendent aussi du cadre de la pratique sportive et de l’enseignant. Cela va affecter leur volonté de gagner et leur réaction face à la défaite. Cela est du au normes qui varie entre les différent cadre mais aussi aux personne participantes qui jugent les actions que ce soit l’enseignant ou les camarades.

Le sport n’est pas forcement une source de socialisation. Mais il peut créer des occasions de créer des liens et de se valoriser contrairement à être une plateforme de violence et de sexisme. Il faut donc savoir comment le sport agi sur les jeunes filles et garçons de cité, ce qu’il en subissent, que ce soit de renforcer cette « culture des rues » ou de s’en échapper.