Devoir 2 Eco Et Droit Annee 1

u chômage, afin qu'il ne perde rien des compétences déjà acquisent, et qu'il reste « à la page », qu'il évolue en même temps qu'évoluent les nouvelles technologies et l'industrie.

Malgré tous ces points positifs, le point de vue de l'entrepreneur est lui plutôt négatif face à ce capital humain. En effet, un entrepreneur ne voit pas l'avantage qu'il peut y avoir d'investir dans des formations ou autres pour un capital humain. Pour lui, il n'est jamais certain qu'un salarié reste dans l'entreprise. De plus, si un salarié décide de quitter l'entreprise, il sera pour l'entrepreneur facile d'en trouver un nouveau, qualifié et bon marché. Néanmoins, certains entrepreneurs font tout de même l'effort d'organiser des journées de formations qui apportent des connaissances nouvelles ou qui font des mises à niveau.

CHENAL Céline

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BTS COMMUNICATION

ECONOMIE GENERALE ET DROIT

DEVOIR N°2

Du point de vue de la nation, il est important d'investir dans le capital humain. On privilégie ainsi le perfectionnement des compétences, et l'apprentissage. L'Etat offre ainsi des formations à tout individu, et également aux personnes défavorisées qui acquierent ainsi elle aussi des qualifications. L'Etat prend également en charge le Fongecif qui permet aux salariés le souhaitant, de se former vers une autre oie professionnelle tout en étant rémunéré. La nation priviliégie donc sans aucun doute le capital humain au capital physique.

Bien que présentant de nombreux points positifs, le capital humain à tout de même des limites. Tout d'abord dans sa capacité à représenter la réalité et la diversité du monde professionnel. En effet, les entreprises ne peuvent pas forcer les salariés à rester dans leurs entrpôts, c'est pourquoi elles préfèrent transformer le capital humain de leurs salariés en capital physique, ce qui a pour but de les aider à s'immobiliser. Cela peut néanmoins être une méthode à hauts risques, qui peut amener à des dégats physiques et morales : dépresssions, suicides...

Le capital humain à également des limites dans sa prise en considération des aspirations individuelles de l'ensemble des salariés. En effet, il est évident que plus une entreprise est grande, plus il y a de salariés, et il devient alors difficile de répondre aux attentes de chacun de leurs employés. C'est pourquoi, comme nous l'expliquions dans un des paragraphes précédents, les entrepreneurs n'ont pas un avis favorable pour le capital humain. Pour eux, cela ne dégage qu'un coût, plutôt que des performances. Le but d'une entreprise reste la rentabilité et la productivité, et le bien être des salariés passera toujours après cela.

Pour conclure, le capital humain joue certe un grand rôle dans notre société, tant du point de vue du salarié, que de celui de l'entrepreneur ou de la nation, mais il observe tout de même certaines limites.

CHENAL Céline

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DEVOIR N°2

Partie 2 : Droit

1.L'article 1 disant que la société est à responsabilité limitée signifie que le gérant de cette société a des limites à ses apports.

2.L'intérêt de la deuxième partie de l'article 2 est de donner plus de détails sur l'objet de la société, sur ce qu'elle est autorisée à faire : il faut qu'il y ai toujours un rapport avec le véhicule à deux roues qui est en vente ou en réparation.

3.La forme juridique et le capital social doit toujours être indiquée sur tous actes et documents destinés au tiers afin qu'il n'y ai jamais de confusion ou d'usurpation.

4.L'associé aurait pu approter son savoir-faire, mais il ne ferait pas partie du capital social.

5.Oui, l'associé aurait pu désigner