Droit constit

INTRO AU DT PUB :

Dt relatif à l’état et aux relations que cette instit entretien avec la soc.

1/ déf gén du Droit : question difficile, aussi ancienne que notre civilisation, tjrs en suspend.

cf maïeutique socratique, méthode de savoir (jeu quest/rép) pr rép question.

- Pq le dt existe-t-il ?

- A quoi sert-il ?

- Quel but sert-il ?

a) Causes exist du dt ?

PDV historique poss dégager un constat = celui de la permanence de le vie en soc

Hommes ont tjrs vécu ens, en cherchant le collect, l’intérêt. D’ab en grp primitifs, puis évo ..

cette perma montre que hommes sont des animaux sociaux

Aristote = homme animal po et soc « zoon politkon » qui vie dans la « cité »

Vie collect car raisons matérielles et intellectuelles

L’homme dispose d’une faculté intellectuelle propre à l’homme = la raison, qui permet de prendre de la distance avec le réel, il nomme, identifie, observe, comprend les objets. La critique que dégage l’homme, met en avant une autre faculté propre : la conscience. Qui lui permet de poser des lois autour de lui, ce qui bon/mauvais, juste/injuste etc…

Permet à l’homme de comprendre qui il est, quel monde l’entoure, dégage des lois qui lui permet de vivre convenablement dans son env.

La raison est source de liberté, car pas liberté sans doutes/critiques/introspec.

Vie en grp eiste pr des raisons mat qui tiennent à l’org de la vie quotidienne (raison secu phy, protect intégrité, partabge des taches …).

Néanmoins raison intellect et psycho, l’Homme à besoin de l’autre pr se reconnaître, pour savoir son id. on peut se connaitre grace à sa raion, mais on a besoin de l’autre pr etre reconnu et exister.

« L’altérité est une cond essentielle de mon id. »

Nietzsche = « seuls les fous et les philos supportent la solitude absolue. »

Relation à l’autre peut être libératrice positive qd basée sur bienveillance mais aliénante si malveillante.

Sartre : « l’enfer c’est les autres » jugement à l’autre et trop recherche survalorisé ds notre soc.

L’homme cherche malgré tout tjrs la soc, mm qd il l’a perd (cf Crusoé)

Le