Sociologie du couple

ur domaine ce qui est absurde, l’auteur se contredis.

Les tâches féminins : Les femmes subvienne aux besoins de toutes la famille, elle travaille beaucoup (ex : les repas, jardinage, lessive, éducation des enfants, les animaux… alors que les hommes ne travail qu’aux champs sauf en période de pleine saison. Les femmes sont exploitées par les hommes. Les finances sont gérés par elles alors qu’en tant normale, a l’ancien temps, c’est le mari qui gère l’argent et qui donne à sa femme. C’est inégal. Même dans certain métier comme boucher, l’homme coupe la viande et la femme fait le reste.

Le pouvoir des femmes : Les hommes dominent et les femmes subissent alors que dans les paragraphes précédents la femme s’occupe de tout. Les hommes prétendent dans leurs domaines être les dominants chez eux alors que ce sont les femmes qui les influences dans la plupart des décisions et des choix de leur activité (travail en usine et se présenter au conseil municipale). Les hommes considéré comme chef de famille car il bénéficie de tous les bons côtés, les gens pensent qu’ils détiennent l’autorité sur la femme mais personne ne le voit. C’est la femme qui décide car elle entend et voit tout, donc est au courant de tout. Le pouvoir masculin est exprimé publiquement alors que celui de la femme est informel, d’une part les femmes semblent avoir un contrôle plus réel sur plus de domaine contrôlable que les hommes. Le mythe de dominance masculine est fausse il est faux mais dit pour donner de la prestance aux hommes ; Les femmes sont insignifiantes devant la soit disant domination masculine mais se sont elle qui tire les ficelles de la vie de couple.

L’avenir du Grand-Fraud : Le village évolue, est à une tendance à devenir plus urbain sous une influence féminine. Les hommes au contraire veulent garder les traditions comme une peur de changement ; l’évolution posera problèmes aux hommes. Les pensées changent totalement, le modernisme touche les hommes comme les femmes. Les cultivateurs deviennent ouvrier et modernise leur maison. Les femmes accordent plus d’importance à l’esthétisme qu’auparavant. Elle devienne plus dominé et n’hésite pas à montrer qui elles sont. Les améliorations sont minimes. Concernant les enfants, ceux d’ouvriers ont plus de libertés que ceux de cultivateur et les mères se sentent coupables et ont peur que leurs enfants ne veulent pas suivre la voix familial et se désintéresse. Les filles ne sont plus élevées comme des futures femmes de fermes. D’après l’auteur la femme restera toujours en second plan. En devenant femme d’ouvrier elles ont perdu de leur pouvoir. Elle reste conforme aux rôles traditionnels qui leur permettent de garder un pouvoir direct. La femme veut être plus autonome tout en gardant une part de traditionnel pour garder un pouvoir sur les hommes.

10 ans après : A cause de la crise, les potagers qu’entretiennent les femmes subviennent aux besoins du ménage. Il y a des améliorations mais le traditionnel reste encré à Grand-Fraud, les hommes ont toujours pour certains de bête et coupe le bois pour se chauffer. Avec la crise ils reviennent à l’ancien mode de travail pour nourrir la famille. Il y a beaucoup de problème de salaire et emploi qui n’aide pas les ménages s’ils n’ont pas d’activités pour les nourrir. Les femmes ne peuvent travailler donc retour 10 ans auparavant. Et les petits travaux qu’elles effectuent leur permettent d’obtenir en échange. Leur pouvoir ne change pas.

Conclusion : On a du mal à suivre l’idée et le fil de pensée de l’auteur.